Secrétaire, je me fais baiser par mon patron
secrétaire coquine soumise et son patron, un mâle dominant. Il y a des moments dans la vie professionnelle où la tension monte, mais pas toujours comme on l’attend. Entre regards furtifs et silences chargés de sous-entendus, certains liens se tissent dans le secret. Cette histoire vous plonge dans une relation intrigante entre une assistante et son patron, un scénario où le jeu de pouvoir prend une tournure sensuelle.
Câline
1/20/20252 min read
C’était un jour comme un autre au bureau. Le bruit lointain des claviers, le chuchotement des appels, et lui, dans son bureau vitré, concentré, impénétrable. Son charisme imposant laissait peu de place à la distraction, et pourtant, chaque fois que nos regards se croisèrent, une étincelle invisible semblait embraser l’air.
Chaque matin, je lui présentais l’agenda du jour, et chaque matin, ses yeux fixaient les miens un peu trop longtemps, comme s’il attendait quelque chose que je n’osais offrir. Ses compliments discrets, ménagés dans des phrases anodines, faisaient battre mon cœur plus vite. Mais ce n’était rien comparé à ce qui allait suivre.
Un soir, alors que les couloirs s’étaient vidés, il m’appela dans son bureau. « Je voudrais revoir cette présentation avec vous », dit-il d’un ton qui sonnait trop doux pour être innocent. Je m’assieds face à lui, mon carnet en main, prête à noter. Mais très vite, je réalisai que ses mots importaient moins que sa proximité.
Il se leva, contourna son bureau et s’adossa au rebord, juste devant moi. La distance entre nous était infime, et sa présence, envahissante. « Vous savez, vous avez un talent particulier pour anticiper mes besoins », dit-il en me regardant avec une intensité troublante. Mon souffle se fit court. « Mais j’aimerais savoir si vous êtes prête à aller plus loin. »
Le silence qui suivit fut à la fois lourd et exaltant. Tout semblait suspendu, comme si le monde avait cessé de tourner. Mon esprit s’emballa : étais-je prête à franchir cette limite ? Une partie de moi hésitait, mais l’autre, plus audacieuse, me poussa à répondre. « Et qu’attendez-vous exactement de moi, Monsieur ? »
Son sourire en coin fut la seule réponse. Lentement, il tendit la main pour effleurer la couverture de mon carnet, mais l’énergie qui émanait de lui me donnait l’impression qu’il touchait directement mon âme. Ce moment débordait de tension, un échange silencieux où les mots étaient inutiles.
Alors qu’il se penchait légèrement, sa voix devint presque un murmure. « Vous avez réussi à me surprendre plusieurs fois cette semaine. Mais savez-vous à quel point vous pouvez être... irrésistible ? » Ses doigts frôlèrent légèrement mon poignet, envoyant une décharge électrique à travers tout mon corps. Je sentis mes joues s’enflammer sous son regard perçant.
D’un mouvement fluide, il me serra fort contre lui, me retournant brusquement pour me placer dos à lui. Ses mains trouvèrent le bas de mon dos, appuyant doucement mais fermement, comme pour me cambrer contre le bureau. Je sentis son membre dur se frotter à mes fesses tout en prenant fermement mon sein dans sa main et en humant le parfum de mon cou. Il était devenu le mâle, sûrement et pleinement.
D’un geste précis, il souleva ma jupe, découvrant mes bas qu’il caressa du bout des doigts. Ses mains continuaient leur exploration, dévoilant un peu plus jusqu’à réaliser que je ne portais pas de petite culotte. Il se figea un instant, savourant la découverte.
Avec une assurance presque instinctive, il plongea sa tête entre mes fesses, comme pour me renifler et s’imprégner de mon odeur. Chaque souffle qu’il expirait contre ma peau intensifiait la tension de ce moment interdit. Puis, ses doigts caressèrent doucement ma petite chatte déjà mouillée. Le plaisir monta en moi, une vague puissante et irrésistible.
Il se releva lentement, plaçant ses mains sur mes hanches. Je pouvais sentir toute sa détermination. Il me murmura d’une voix rauque : « Je n’ai plus envie de retenir ce que je ressens pour toi. » Et sans attendre, il me prit contre le bureau, me plongeant dans une passion brute et dévorante.